lundi 27 février 2012



Quelques acteurs...


Quelques acteurs tentent de diminuer la pollution atmosphérique. En fait, se sont des mesures misent en place pour éliminer le plus possible certains polluants de l’air.


Un article de La Presse publiée le 18 juillet 2011 expliquait que le Québec venait d’adopter, après des années de gestion, un nouveau règlement sur la qualité de l’air concernant l’industrie. Toutefois, ce règlement ne s’applique pas toujours. D’après La Presse, ce règlement s’applique aux sources de pollutions fixes, comme une usine, mais pas à l’imposante machinerie mobile employée dans les chantiers de forages gaziers. «Il n'y a pas de norme d'encadrement ?» : dénonce Mme Hélène Simard, responsable des relations avec les médias au ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP). «Mais même en l'absence de norme, le MDDEP peut exiger que des mesures soient prises, ajoute Mme Simard. Les impacts de l'utilisation de machinerie lourde font partie du processus d'analyse pour tout projet.» C'est un trou de plus dans la réglementation applicable à l'industrie gazière. Bien que Québec tente de faire des efforts pour contrer la pollution atmosphérique, plusieurs changements se doit d’être fait dans les industries, puisque les polluants de l’air proviennent en grande partie des industries.


Comme mentionné dans les causes, les poêles à bois créent beaucoup de polluants atmosphériques. On pouvait lire dans La Presse en août 2011 que le ministre de l'Environnement, Pierre Arcand, a annoncé qu’il y aurait une aide de 6 millions $ pour inciter les citoyens à remplacer leurs vieux poêles par des appareils plus écologiques comme ceux alimentés par le gaz, des granules où l'électricité. Voilà une initiative qui peut diminuer le smog hivernal créé principalement par les poêles à bois. Ce problème de smog hivernal est plus important à Montréal, c’est pourquoi cette mesure a été prise seulement dans la métropole. Selon La Presse, en 2011, on dénombrait 85 000 foyers au bois émettant des particules fines, des contaminants qui polluent et affectent la santé.


Un autre facteur qui pourrait diminuer la quantité des polluants que l’on retrouve dans l’air, c’est des automobiles écologiques. Le trafic routier étant l’une des principales causes de la pollution atmosphérique, il est primordial d’avoir un plan d’action pour diminuer ce facteur largement nuisible pour l’environnement. Certain constructeur automobile s’efforce d’être vert, comme par exemple Honda. En octobre 2010, on pouvait lire dans La Presse que pour la cinquième année consécutive, Honda a remporté le titre du « constructeur automobile le plus vert » décerné par la Union of Concerned Scientists (UCS), une association américaine de scientifiques prônant la responsabilité sociale. Mais, Honda s'est fait sérieusement chauffer par Toyota et par le coréen Hyundai, qui ont fini seulement un point derrière lui. On peut donc constater que les constructeurs automobiles sont des acteurs importants dans l’amélioration de la qualité de l’air.


En somme, se sont ces types de changement qui feront diminuer les polluants atmosphériques et qui améliorera la qualité de l’air, tant qu’ils sont respectés.

mercredi 15 février 2012






Les conséquences : va-t-on pouvoir continuer à respirer ?


La pollution de l’air semble causer de nombreuses conséquences. Premièrement, la pollution atmosphérique a de graves conséquences sur la santé humaine, elle a également des effets néfastes sur les animaux, sur la végétation, la météo et sur les bâtiments surtout en milieu urbain.

Parmi les effets néfastes sur la santé des humains et des animaux, il y a les troubles respiratoires comme par exemple, la silicose, la pneumonie, l’asthme, l’emphysème, la bronchite et le rhume des foins causés par des particules (pollen, spores) et par des gaz (SO2, NO2, O3). Parmi les effets néfastes sur la santé des humaines on retrouve également la carboxyhémoglobinémie, qui est une pathologie qui nuit à la capacité de l'hémoglobine à se combiner avec l'oxygène à cause de la présence de monoxyde de carbone dans la circulation sanguine. Cette pathologie importante vient avec plusieurs symptômes ; les irritations cutanées et les larmoiements causés par l'ozone; les lésions aux organes internes causées par le plomb, le mercure, les pesticides et quelques autres manifestations. De plus, la pollution atmosphérique est soupçonnée de causer le cancer du poumon et d'autres maladies chroniques comme par exemple le diabète.

Des études réalisées dans plusieurs pays révèlent que la pollution de l'air, augmente l'indice de mortalité de 2 à 10 % chez les personnes à risque soit les personnes âgées et les individus souffrant de maladies chroniques. Ces études démontrent que le principal facteur de cette hausse du taux de mortalité c’est le risque accru de problèmes cardiovasculaires.

Quant aux conséquences sur l’environnement soit à la végétation, on constate que la végétation subit des dommages directs tels que la nécrose (mort des tissus), la chlorose (décoloration des feuilles) et le vieillissement prématuré de celle-ci. De plus, la pluie acide, un phénomène souvent évoqué, semble contribuer à la nuisance de la végétation. La pluie acide se combine à l'exposition aux embruns routiers salés, aux embruns marins pollués et aux apports par l'air et les pluies d'autres polluants dont des désherbants, fongicides ou insecticides transportés par l'air, puis ils sont lessivés par les pluies ou directement absorbés dans les cuticules cireuses. Ces polluants affectent les plantes directement, ou indirectement suite à la disparition ou régression de champignons symbiotes, ou d'espèces pollinisatrices comme les abeilles.

Les impacts de la pollution atmosphérique les plus courants chez les animaux sont d’ordres respiratoires et écotoxiques (phénomènes inflammatoires, diminution de l'immunité).

En plus, de causer tout ces dommages à ce qui est vivant, la pollution atmosphérique à aussi plusieurs conséquences sur les bâtiments qui se retrouvent surtout en milieu urbain. Depuis plus de deux siècles, l'augmentation massive de la production et de la consommation d'énergie, due au développement des industries, des transports et du chauffage, ainsi que le remplacement, comme combustible, du bois par le charbon et les dérivés du pétrole, ont entraîné d'importantes émissions atmosphériques de composés soufrés, soit sous forme gazeuse (SO2), soit liés à des particules (cendres volantes micrométriques, suies nanométriques). Cette pollution a résulté une importante sulfatation des matériaux du patrimoine bâti. Parmi ces matériaux, la pierre démontre une plus importante sulfatation, qui se manifeste par l'apparition, à l'interface matériaux-atmosphère, de sulfate de calcium hydraté (Gypse: CaSO4, 2H2O). Cette sulfatation est accompagnée d'altérations physiques et esthétiques, selon des modalités complexes dépendant. En plus des concentrations en soufre d'origine atmosphérique, d'autres substances telles que l'humidité relative de l'air, l'exposition ou non des matériaux à la pluie, de leur disponibilité en calcium, de leur porosité ainsi que de leur rugosité.


Les causes : les polluants atmosphériques

Le smog urbain que l’on connaît est dut aux polluants atmosphériques, les polluants atmosphériques sont des substances qui, lorsqu’elles sont présentent dans l’air en grandes quantité, peuvent être dangereux pour la santé humaine, les animaux, la végétation et peut même causer des dommages aux matières inanimées.

Les sources des polluants atmosphériques, c'est-à-dire ce qui cause la pollution atmosphérique sont nombreux. Il y a les industries, les véhicules, les activités domestiques (chauffage, cuisson, fumée de bois), l'agriculture (fertilisants, nuages de poussière, pesticides, herbicides, déchets animaux et odeurs liées à l'élevage), la foresterie (pesticides, incendies de forêt). De plus, il y a les émissions naturelles qui peuvent avoir des effets importants sur la quantité de matières polluantes atmosphériques que l’on peut retrouver dans l’air, la quantité de matières polluantes dépend de leurs sources et le moment où elles sont émises. Parmi ces sources, on retrouve les tempêtes de poussière, les incendies de forêt, les embruns, les végétaux produisant des spores, du pollen et des gaz biosynthétiques, et les volcans. L’eau, peut aussi être considérée comme un polluant, dans des villes du nord, comme Edmonton, la vapeur d'eau provenant de la combustion du gaz naturel peut causer un brouillard glacé en hiver. Ce qui dans ces circonstances, l'eau est considérée comme un polluant.

Le principal émetteur de polluants, c’est-a-dire celui qui contribue davantage à la pollution atmosphérique provient de la combustion de carburants et ou de procédés industriels. La combustion de carburants et ou de procédés industriels produisent des substances polluantes tel que les oxydes d'azote (NO2 et NO), le monoxyde de carbone (CO), le sulfure d'hydrogène (H2S), les particules fines (MP2.5) et le dioxyde de carbone (CO2). Le comportement initial de ces polluants dépend de la nature de sa source, cette source peut être une cheminée qui rejette des gaz à haute température et à grande vitesse, un tuyau d'échappement d'un véhicule en mouvement ou la formation dans l'atmosphère d'autres polluants (polluants atmosphériques secondaires). Par la suite, le polluant se déplace avec le vent, et il est dilué par les tourbillons et ensuite se dépose. Puis, sous l'action du vent, la pollution est généralement transportée sur de grandes distances. Les types de MP2.5 en suspension dans les gaz de combustion sont, entre autres, le carbone organique, le carbone élémentaire ou noir (connu comme la
suie) et les métaux-trace (plomb arsenic, nickel, mercure).

Dans la presse du 6 décembre 2011, on pouvait lire que le ministre de l'Environnement, Pierre Arcand, a déposé à l'Assemblée nationale, le projet de loi 48 qui lui confère de nouveaux pouvoirs pour imposer une «inspection environnementale des véhicules automobiles». Cette mesure contribuera à réaliser l'objectif du gouvernement de réduire, d'ici à 2020, les émissions de gaz à effet de serre (GES) de 20% par rapport au niveau de 1990. Québec fait un premier pas en vue d’obliger les propriétaires d'automobiles de huit ans et plus à faire inspecter leur véhicule pour réduire la pollution de l'air. Le programme environnemental ne verra toutefois le jour qu'à la fin de 2013. Et il n'obligera alors une inspection qu'au moment de la revente de l'automobile. Le trafic routier étant une cause importante de la pollution atmosphèrique,   peut-être que ce projet de loi feras une différence pour l’environnement ?

mardi 7 février 2012


Voici 5 sites intéressants sur la pollution atmosphérique :

http://www.fmoq.org/Lists/FMOQDocumentLibrary/fr/Le%20Médecin%20du%20Québec/Archives/2010%20-%202019/2010/MQ-12-2010/029-033DrDenis1210.pdf


Résumé : Ce site discute de la pollution atmosphérique, les principaux effets du smog et de la chaleur sur la santé y sont décrient ainsi que les personnes à risquent, puisque les effets de la pollution atmosphérique touche tout le monde, mais certainement personnes sont plus à risque. Les principaux effets de la pollution et de la chaleur sur la santé sont une augmentation de la morbidité et de la mortalité associées aux maladies cardiovasculaires et respiratoires.



http://repere3.sdm.qc.ca/cgibin/reptexte.cgi?B085450+PDF


Résumé : Ce site discute des conséquences de la pollution de l’air sur la santé humaine. La pollution de l’air dispose de plusieurs façons de s’infiltrer dans l’organisme humain et d’y entraîner des impacts négatifs, notamment pour les systèmes cardiovasculaires et respiratoires. 




http://www.thecanadianencyclopedia.com/articles/fr/pollution-de-lair


Résumé : Ce site discute de la pollution de l’air. Il évoque les types de polluants, les voies d’entrée de la pollution atmosphérique dans l’environnement, les effets des polluants atmosphériques, la gestion des ressources atmosphériques et la lutte antipollution.



http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/search/?p_p_action=1&


Résumé : Ce site discute des mesures de prévention tarifaires ou réglementaires envisageables pour diminuer la pollution atmosphérique. Si le cas des oxydes d’azote permet d’illustrer la notion de coût marginal des dommages, au cœur de l’économie de l’environnement, il ne constitue qu’un des polluants à prendre en compte.


 http://www.parl.gc.ca/Content/LOP/ResearchPublications/prb984-f.htm
 
Résumé : Ce site discute des effets du smog sur la santé des Canadiens. Il évoque entre autre les principaux composants du smog, les effets de l’ozone, des sulfates et des particules sur la santé, les mesures législatives adoptées par le Canada pour réduire la pollution atmosphérique.